Appel à communication

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ACEDLE 2025 PAAS - Extension des dépots de propositions au 30/09/2024 !

Pratiques Artistiques et Approches Sensibles en didactique des langues-cultures

Contextes & appropriations

14-15-16 mai 2025

Toulouse, Université Toulouse Jean Jaurès

Campus Mirail Maison de la recherche et Campus INSPÉ

 

Illustration © Isla Nové

Le colloque PAAS est organisé dans le cadre des manifestations scientifiques de l’Association des chercheurs et enseignants didacticiens des langues étrangères (Acedle). Les membres de l’association organisent des colloques et des journées d’études thématiques appelées NEQ (Notions en Questions, format inauguré par le CREDIF), ainsi que d’autres événements. Pour ne citer que les plus récents, la journée NEQ 2023 s’est tenue à Aix-en Provence, le Colloque « Didactique, plurilinguisme (s), mondialisation (s) » a eu lieu à Aveiro (Portugal) en 2022, la journée NEQ 2021 « Autonomie/autonomisation » à Nancy, le colloque DILAPLU 2019 s’est tenu à Grenoble. Le colloque PAAS s’inscrit dans la suite des évènements précédents pour explorer des approches, susciter des échanges et poursuivre des réflexions théoriques collectives.

 

Conférencier·es en plénière

  • Véronique Fillol & Elatiana Razafimandimbimanana (U. Nouvelle Calédonie, ERALO)
  • Gail Prasad (Université York, Toronto, Canada)
  • Myriam Suchet (Paris 3 Sorbonne, Thalim)
  • Olivier Mouginot (Université Franche Comté, CRIT)
  • Emmanuelle Huver (Université Tours) et Sandrine Eschenauer (Aix Marseille Université)
  • Danièle Moore (Université Simon Fraser, Canada)

Grands témoins
Joanna Lorilleux, Nathalie Auger

Stand libraires
Ombres blanches et/ou Floury Frères

Table ronde d’éditeurs de littérature jeunesse plurilingue
Mathilde Chèvre (Le Port a jauni)
Virginie Kremp (Migrilude)
Romain Eyheramendy (AUZOU éditions)
Rue du monde

 

Appel à communication

Les dernières décennies ont vu se développer, dans le domaine de la didactique des langues et des cultures, un foisonnement de démarches que nous regroupons sous l’expression « approches sensibles ». Par approches sensibles en Didactique des Langues-Cultures (DLC), nous entendons « les dispositifs et démarches qui mobilisent la sensibilité des apprenant·es en lien avec leur plurilinguisme et avec des pratiques artistiques ou d’expression créative qui permettent de le révéler. Ces approches mixent l’expérience esthétique et l’imaginaire, en collaboration ou non avec des artistes ou des acteurs externes au champ de l’éducation proprement dit. Elles sont sensibles au plurilinguisme des sujets et au multilinguisme sociétal et portent le projet, dans le champ éducatif, d’une société du multiple et du pluriel où chacun·e puisse trouver sa place » (Dompmartin-Normand, 2023 : 32).

Plusieurs événements scientifiques récents en France et ailleurs témoignent du développement des approches sensibles qui pensent l’enseignement des langues en lien avec des préoccupations sociétales et des pratiques artistiques. Pour exemples : Forum FLE 2021, Enseigner le FLE à travers les arts (Grenoble), le premier symposium du Réseau Plurilinguisme, arts, didactique et sociétés (PArDIS!), en juin 2022 à Marseille, la journée d’études Plurilinguismes, transculturalités et créativités : Dialogues autour de pratiques éducatives (qui s’est tenue en juin 2022 à Paris 8), ainsi que le numéro 2/2023 des Langues Modernes, qui titre « Enseigner par les arts de la scène » (Abdelkader, 2023). Le colloque LEEL « Lire et Écrire entre les langues » a eu lieu en juin 2023 à Aix en Provence. Le dernier congrès de l’ARIC s’est tenu à Laval en juin 2023 également et a fait une place aux propositions artistiques en particulier sous l’axe « Luttes artistiques et arts vivants contre le racisme anti-migrants ». Le colloque à venir en avril 2024 à Liège intitulé « [Retour] du Sujet et du Sens en Didactique des langues étrangères » et le colloque « Espaces sensibles : approches performatives pour une éducation inclusive de l’école à l’université », qui se tiendra du 5 au 7 juin 2024 à Aix-en-Provence témoignent également de la vitalité de la réflexion ainsi que d’autres initiatives.

Des projets de recherche et/ou d’intervention sont décrits et analysés en recherche sur différents terrains, dans les murs et hors les murs de la classe, dans des contextes variés pour des publics variés, en France y compris dans les régions ultramarines, et dans d’autres régions du monde. Des projets se focalisent sur le théâtre (Irubetagoyena, 2016 ; Nowak (drameducation) ; Abdelkader et Bazile 2013 ; Rollinat-Levasseur 2015) et différentes formes de travail de textes poétiques (Cosnier-Laffage, 2019 ; Fabulet et Vorger, 2021 ; Fontana (http://fofana.free.fr/wp/) ; Martin, 2002 ; Mouginot, 2018, 2020 ; Vorger, 2021, 2023). D’autres s’appuient sur l’écriture créative autobiographique ou expérientielle (Dompmartin, 2019, 2023 ; Mathis, 2016). La photographie et les arts visuels (dessins réflexifs, collages) sont mobilisés (Alvir, 2015 ; Fillol, Geneix-Rabaul & Dinvaut, 2018 ; Fillol, Razafimandimbimanana & Geneix-Rabault, 2019 ; Farmer et Prasad 2014 ; Razafimandimbimanana, 2022). La littérature dont la littérature pour la jeunesse et la création d’albums plurilingues sont en jeu (Bourhis et Deschoux, 2021 ; Gosselin-Lavoie, Maynard & Armand, 2021 ; Bouhris et Laroque 2021 ; Gobbé-Mévellec, 2019, 2021).

L’enjeu à notre sens porte moins sur les formes artistiques convoquées dans les démarches didactiques que sur leur articulation avec l’appropriation linguistique, langagière et culturelle qui pourrait résulter des mises en résonance entre l’expérience sensible et l’expérience plurilingue et pluriculturelle des sujets. C’est en tout cas un des partis-pris de ce colloque de choisir de s’intéresser aux expériences des personnes autant qu’aux formes et aux dispositifs qui sont censés les susciter.

Ces démarches sont-elles une « nouvelle frontière » prometteuse, un éventuel « supplément d’âme, de dynamisme et de mise en relation » pour les dispositifs didactiques comme nous le mentionnions en 2018 (Dompmartin et Thamin, 2018) ? Plus qu’un supplément d’âme, nous pensons qu’elles peuvent représenter un espace potentiel de transformation, voire un « espace de potentialisation » (Aden, 2012) en ce qu’elles proposent des passages par la réception sensible d’objets ou d’expériences artistiques, couplée à une logique du faire œuvre (Valery, 1957) en interaction et en relation, quand les processus comptent plus que les productions. Des chemins sont ainsi empruntés, non seulement pour enseigner/apprendre la/les langue(s), mais aussi pour inviter à revisiter le rapport des sujets aux objet langagiers à apprendre ou à enseigner. Il s’agit de s’approprier, en même temps que des habiletés linguistiques, des lieux et des manières d’être au monde plus libres et résonantes (Rosa, 2018), ou encore de faire l’expérience de l’altérité, y compris d’une altérité qui résiste, en raison de l’opacité de la langue, du malentendu, de la difficulté à dire, à se faire comprendre, à être compris.

En tout état de cause, il s’agit à travers ces démarches didactiques ouvertes d’opérer un déplacement de focale, en «envisage[ant] le langage et les langues prioritairement comme poïesis, c’est-à-dire comme expérience nécessairement créative du monde », ce qui « bouleverse les priorités de la didactique, en orientant ses questionnements vers la réception et la compréhension […] plutôt que vers la production ; vers la relation qui peut s’y nouer plutôt que vers l’efficacité des dispositifs à mettre en place ; vers une appréhension culturelle et historiale de l’humain […] » (Huver et Lorilleux, 2018).

La notion d’appropriation (Castellotti, 2017) est ici pivot en ce qu’elle subsume les notions d’acquisition et d’apprentissage, en ce qu’elle donne à l’apprenant une position incarnée de personne qui vit et expérience en langue(s). Elle invite à contextualiser les apprentissages en rendant incontournables les aspects sociolinguistiques des situations et les rapports aux langues afférents. La notion d’empouvoirement émerge, ainsi que, entre autres, celles d’inclusion, d’émancipation, d’agentivité, d’instabilisation, de transformation, d’altération, mettant sur le devant de la scène les enjeux psychologiques, sociologiques, sociolinguistiques, philosophiques, politiques, esthétiques de l’appropriation de la/des langues pour les sujets. Dans un monde complexe, marqué par les mobilités et les reconfigurations identitaires multiples, par des confrontations à l’altérité parfois rugueuses, chacun peut réfléchir sa place, cette dernière notion étant intrinsèquement liée à la capacité de relation et de réflexivité. Toutes ces notions s’emboîtent-elles ? En quoi sont-elles mobilisables ensemble pour affiner les contours d’un paradigme de la DDLC revisité ? Comment s’articulent-elles aux contextes d’enseignement, d’apprentissage et de recherche ? Qu’apportent les arts et ces approches par le sensible pour l’appropriation linguistico-langagière ? Comment la notion d’empouvoirement, celle d’émancipation et celle d’autonomisation se répondent-elles ? Quels sont les enjeux mis en avant ou déplacés par ces approches ? Avec quelles tendances sontelles mises en tension dans chaque contexte ? Tensions et complémentarités sont à interroger, avec par exemple les approches communicationnelles ou actionnelles, ou plus globalement les approches par projets, ou les approches basées sur des médiations et supports technologiques, ou d’autres approches mobilisant des cadres théoriques divers (neurosciences, approches empiriques et qualitatives…). Ce colloque sera l’occasion de prendre du recul et de faire le point sur les arrière-plans théoriques et les circulations épistémologiques concernés, avec un questionnement multiple. En quoi ces démarches renouvellent-elles ou interrogent-elles (ou non) nos manières de concevoir l’enseignement et la recherche en didactique des langues ? Convergent-elles ou se différencient-elles en fonction des contextes et de leur grande diversité ? En contexte ultramarin par exemple, en contexte de revitalisation linguistique ou de dissymétrie sociopolitique des langues en présence (diglossie/glottophagie), comment s’élabore une ethnodidactique appuyée sur ce type de démarches? Comment permettent-elles l’expression de rapports aux langues, dans les situations de diversité linguistique intense, avec le poids de l’histoire et de la domination de certains récits sur d’autres, notamment en situation post-coloniale ?

En formation des enseignants, peut-on espérer que les approches sensibles, notamment par les arts, permettraient de mieux éclairer les contenus de sociolinguistique et de didactique dans une perspective réflexive et critique, indispensable aux enseignants de langues aujourd’hui ? En formation linguistique avec des personnes en mobilité contrainte (exilés, réfugiés, migrants), quelle valeur ajoutée ces approches peuvent-elles représenter ? Quels problèmes peuvent-elles poser ? Si transformation il y a, comment se donne-t-elle à voir ? Comment est-elle donnée à comprendre et est-elle comprise ?

Comment par ailleurs la collaboration et la relation entre les différents acteurs impliqués dans les démarches (artistes, enseignants, apprenants) se construit-elle, notamment autour des enjeux d’apprentissage ?

Il sera attendu des contributions sur des expériences se reconnaissant dans les approches sensibles sur des terrains variés : classes d’accueil pour élèves allophones nouvellement arrivés, classes ordinaires du primaire ou du secondaire accueillant ces élèves et les autres, étudiants internationaux dont étudiants exilés, classes bilingues, immersives ou pas, autres contextes de la maternelle à l’université, formation linguistique pour adultes migrants… En cas de pré- sentation d’une recherche de terrain, il est attendu que la situation et les visées des dispositifs soient explicités, ainsi que la démarche de recherche adoptée et une interprétation de leur mise en œuvre.

Des propositions non empiriques (i.e. notionnelles ou épistémologiques, par exemple) sont également encouragées. Plusieurs axes sont retenus :

1. au plan des interventions auprès d’apprenants de langue(s) dans l’espace scolaire et extrascolaire ;

2. au plan de la formation des enseignants ;

3. au plan épistémologique avec un questionnement ouvert sur des notions clés comme “expérience”, “réflexivité”, “langue”, “culture”, “plurilinguisme” et les théorisations qui sous-tendent les recherches effectuées, doublé d’une réflexion sur les méthodologies de recherches, dont la recherche-action-création.

4. Varia : les colloques Acedle sont conçus comme des lieux de débat et de rencontre, où toutes les sensibilités peuvent trouver un lieu d’expression et de confrontation, où les chercheurs peuvent échanger sur leurs travaux en cours à la lumière des avancées dans des secteurs proches. Aucune thématique n’est a priori écartée.

 

Formats proposés

1. Symposium : 1h30

(échanges inclus, minimum trois intervenants)

Pour les démarches scientifiques, ce format pourra être privilégié par des équipes impliquées dans un projet commun et souhaitant en exposer le contexte, la problématique, la mise en œuvre et les analyses. Dans ce cas, un seul résumé de 800 mots maximum sera attendu avec une bibliographie commune de 10 titres maximum (non incluse dans le comptage). La proposition mentionnera le titre, jusqu’à 5 mots-clés, l’axe thématique dans lequel s’inscrit le symposium. Puis les noms des intervenants, leurs affiliations respectives (université et/ou lieu d’exercice, laboratoire si chercheur·es), leurs courriels. Leurs interventions à voix croisées seront maintenues dans une durée de 60 minutes afin de laisser place aux échanges.

Des symposiums plus classiques, avec 3 interventions de 20 minutes successives, pourront être proposés, avec un fil directeur exposé clairement en introduction. La proposition mentionnera un titre générique et un résumé de fil directeur (100 mots environ) montrant la cohérence de l’ensemble, jusqu’à 5 mots-clés, l’axe thématique dans lequel s’inscrit le symposium. Puis les noms des intervenants, leurs affiliations respectives, leurs courriels, les titres des trois interventions et leur résumé de 300 mots chacun (avec une bibliographie de 10 entrées non incluse dans le comptage). Les interventions seront maintenues dans une durée de 60 minutes afin de laisser place aux échanges.

2. Atelier : 1h30 (échanges inclus)

Place aux recherches-actions-créations ou projets divers (artistes, chercheurs, praticiens…).

Les ateliers seront de nature interactive avec les participants au colloque. Les informations suivantes feront partie de la proposition : le titre, les noms des intervenants, leurs affiliations respectives (université et/ou lieu d’exercice, laboratoire si chercheur·es), leurs courriels. Puis un résumé des objectifs de l’atelier, de la méthodologie, des contenus. Le résumé doit comporter un maximum de 800 mots (avec bibliographie jusqu’à 10 références, non incluse dans le comptage) et jusqu’à 5 mots-clés.

3. Communications : 20 mn (+ 10 mn réservées aux échanges)

La proposition comprendra le titre de la communication, l’axe thématique dans lequel elle s’inscrit, le nom du/des intervenants, leurs affiliations respectives (université et/ou lieu d’exercice, laboratoire si chercheurs), leurs courriels. Puis un résumé de 500 mots maximum avec bibliographie de 10 références maximum (non incluse dans le comptage) et jusqu’à 5 mots-clés.

4. De plus, nous souhaitons accueillir des performances artistiques ou conférences performées en lien avec la/ les langues. Les projets qui pourraient se reconnaître dans cette catégorie sont invités à contacter les organisatrices. Nous explorons les possibilités de financement pour les artistes qui y seraient impliqués. Une exposition serait notamment bienvenue.

Modalités de dépot

Les propositions seront soumises en format PDF via la plateforme https://paas.sciencesconf. org (en construction), en deux versions, une complète et une anonymisée. Les fichiers seront nommés ainsi : NOM_symp/atelier/comm_PAAS25

Langues de communication: français, anglais, espagnol, portugais… Les interventions pourront être plurilingues, moyennant des modes de communication travaillés facilitant l’intercompréhension.

En cas de problème avec le dépôt sur le site, notamment en l'absence de rattachement institutionnel (surtout pour les ateliers), les propositions peuvent être envoyées aux adresses suivantes : euriell.gobbe-mevellec@univ-tlse2.fr, chantal.dompmartin@univ-tlse2.frnathalie.thamin@univ-fcomte.fr.

Bibliographie

Abdelkader, Y., Bazile, S. et Fertat, O. (2013) (dir.). Pour un Théâtre-Monde : Plurilinguisme, interculturalité, transmission. Presses Universitaires de Bordeaux.

Abdelkader, Y. (2023) (dir.) Enseigner par les arts de la scène. 1/ Performances scéniques et compétences orales en classe de langue. Les langues modernes n°2.

Aden, J. (2012). « La médiation linguistique au fondement du sens partagé : vers un paradigme de l’énaction en didactique des langues ». Études de linguistique appliquée, 2012/3, n°167 : 267-284.

Alvir, S. (2015). Ville côté jardin : approches visuelles en sociolinguistique urbaine . L’Harmattan.

Armand, F., Gosselin Lavoie, C. et Combes E. (2016). Littérature jeunesse, éducation inclusive et approches plurielles des langues. Nouvelle Revue Synergies Canada, n°9, https://journal.lib.uoguelph.ca/index.php/nrsc/article/view/3675

Audras, I. et Maillard, N. (2021) (coord.). Vivre la littérature de jeunesse dans la pluralité des langues : enjeux linguistiques, littéraires, éducatifs de la traduction. Publije N°1.https://revues.univ-lemans.fr/index.php/publije/issue/view/22

Bloor T. et Greaves (2022). « Creative writing teaching-learning practice in second language learning: a didactic study »e-Rea [En ligne], 20.1. URL : http://journals.openedition.org/erea/15504

Bloor, T., Greaves, S., Mundler, H. E., Bygrave, Simone, Da Sylva, Florent, Mathis, N., & Anthony, Laure-Hélène. (2023). Ecriture créative : L’affect, le souvenir et le désir en L2. Actes du 3e Congrès International de la Théorie de l’Action Conjointe en Didactique, 2. https://tacd-2023.sciencesconf.org/data/pages/TACD_2023_Actes_Volume_2_vf4.pdf

Bourhis, V. et Deschoux, C. (2021). Esquisse d’une typologie des livres imagés plurilingues pour l’école. Le français aujourd'hui, 215, 23-38.https://doi.org/10.3917/lfa.215.0023

Bourhis, V. et Laroque, L. (2021) (dir.) Littérature de jeunesse et plurilinguisme. Le français aujourd'hui, 215.https://doi.org/10.3917/lfa.215.0005

Castellotti, V. (2017). Pour une didactique de l’appropriation. Diversité, compréhension, relation. Didier.

Cosnier-Laffage, F. (2019). Gestes de lecture et d’écriture : vivre les poèmes dans la voix. Le français aujourd'hui, 205, 57-66.https://doi.org/10.3917/lfa.205.0057

Cros, I. et Godard, A. (dir) (2022). Écrire entre les langues. Littérature, traduction, enseignement, Éditions des archives contemporaines.

Deschoux, C.-A. et Perregaux, C. (2007). Et si la classe faisait circuler les écrits plurilingues au-delà d'elle-même ? Langages et pratiques, http://www.forumlecture.ch/myUploadData/files/2011_3_Deschoux_Perregaux.pdf

Dompmartin-Normand, C. (2023). Tricotissages expérientiels et épistémologiques en plurilinguisme. L'atelier d’écriture comme approche sensible en didactique des langues. [Note de synthèse HDR] https://hal.science/tel-04356819

Dompmartin-Normand, C. (2018). Un atelier d’écriture expérientielle en FLE comme parcours de sécurisation entre l’ici et l’ailleurs linguistique et culturel. Dans : Narcy-Combes M.-F., Joeffrion C. (dir). Contributions au développement de perspectives plurilingues en éducation et formation : PUR. (pp. 160-173).

Dompmartin-Normand C. et Thamin, N. (coord.) (2018). Démarches créatives, détours artistiques et appropriation des langues, LIDIL, n°57.

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Fabulet, A. et Vorger, C. (2021). S’y atteler en ateliers. Le Français aujourd’hui, n° 212, 117-127.

Farmer, D. et Prasad, G. (2014). Mise en récit de la mobilité chez les élèves plurilingues : portraits de langues et photos qui engagent les jeunes dans une démarche réflexive. Glottopol 23, 80-97. http://glottopol.univ-rouen.fr/numero_24.html

Fillol, V., Razafimandimbimanana, E. et Geneix-Rabault, S. (2019). La créativité en formation professionnalisante : un processus émancipateur. Contextes et didactiques 14. http://journals.openedition.org/ced/1497

Fillol, V., Geneix-Rabault, S. et Dinvaut A. (2018). Les arts tissent : les littéracies artistiques et plurilingues comme outils de formation. Dans : El Barkani Bouchra, Meksem Zahir (dir.), Plaidoyer pour la variation. Mélanges en hommage à Marielle Rispail, EME.

Fleuret, C. et Auger, N. (2019). Translanguaging, recours aux langues et aux cultures de la classe autour de la littérature de jeunesse pour des publics allophones d’Ottawa (Canada) et de Montpellier (France) : opportunités et défis pour la classe. Cahiers de L’ILOB, Vol. 10, 107-136.

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Gobbé-Mévellec, E. (dir.) (2019). Livre Ensemble : l’album pluriculturel comme espace de rencontre avec l’autre, Strenae, n° 14,https://journals.openedition.org/strenae/2049

Gosselin-Lavoie, C., Maynard, C. et Armand, F. (2021). Les albums plurilingues ÉLODiL pour soutenir l’enseignement à distance. Nouvelle Revue Synergies Canada, 14,https://journal.lib.uoguelph.ca/index.php/nrsc/article/view/6244/6405

Irubetagoyena, K. (2016). Je ne sais pas quoi te dire, joue ! L’entretemps.

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Mouginot, O. (2020). Ateliers d’écriture et didactique du français langue étrangère : enjeux théoriques et pratiques des essais de voix en contexte de formation universitaire. Synergies Italie n°16.

Mouginot, O. (2018). Deux ateliers du poème pour « essayer dire » en français langue étrangère. Pratiques. https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01898352

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